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Melilla 2022-06-25 : Que faut-il en apprendre ? Il faut absolument une solution ! Il faut débloquer le développement économique

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Pour ne plus voir ces images douloureuses


Pourquoi ces images douloureuses ?

Parce que les jeunes disent qu’ils ne trouvent pas de travail en Afrique, et au Sénégal en particulier ?

Pourtant, le Sénégal est un pays, où beaucoup de choses sont à faire ?

Comment en est-on arrivé là ?

Il faut savoir que le socle de tout développement passe par l’agriculture, les produits de la mer, l’élevage, les minerais.

Or l’Afrique en regorge.

Si on les exploitait normalement, on n’aurait pas besoin d’aller en Europe. On se contenterait de voyager à l’intérieur de l’Afrique, chaque pays ayant ses spécificités.

Pour le Sénégal, c’était l’arachide, le coton, le poisson, les phosphates. ….

Cela signifie que si tous les pays africains se mettaient ensemble avec une bonne formation, ils pourraient prétendre être une grande puissance comme les Etats Unis d’Amérique.

C’est un défi à relever !

Comment y arriver ?

Il faut savoir d’abord qu’il y a des erreurs qu’on doit corriger sur les fondements de notre économie, à savoir l’arachide, le coton, le poisson et les phosphates. Il faut les corriger pour que notre économie se redresse et que des emplois se créent automatiquement.

  • Il y a des erreurs sur l’arachide et le coton et il faut les corriger pour que cela offre beaucoup d’emplois.
  • Il y a des redressements à faire sur la pêche pour qu’elle offre beaucoup d’emplois.
  • Il y a des redressements à faire sur le phosphate pour qu’il offre beaucoup d’emplois.
  1. L’Arachide

Parmi ces erreurs sur l’arachide, on peut compter le fait que sa clientèle, qui est principalement de l’huilerie, est détenue par l’Etat qui n’est pas assez doué pour gérer une telle société à caractère commercial et privé. Ceci constitue un goulot d’étranglement et bloque le développement libre de l’arachide au Sénégal.

L’idéal serait que les huileries soient détenues par les cultivateurs comme actionnaires prioritaires pour leur donner plus de motivation pour la production de l’arachide.

Au lieu de vendre ces sociétés à des étrangers, il vaut mieux les vendre aux cultivateurs.

La condition importante sera que ces huileries seront réparties en plusieurs sociétés devant entrer en concurrence comme du temps où elles étaient détenues par des étrangers européens.

On croit que l’arachide n’est plus d’actualité, mais que si, de même que le blé de l’étranger.

En effet il suffit de se souvenir que la production d’arachide était importante et qu’elle était transformée en grande partie par des usines détenues par des sociétés privées différentes, se faisant la concurrence et qui étaient :

  • La SEIB de Diourbel
  • La SODEC de Lyndiane
  • La SEIC de la Casamance
  • L’usine PETERSEN à Dakar
  • L’Usine Lesieur à Dakar

Chacune de ces sociétés était puissante et offrait des emplois.

L’Etat qui les a regroupées avec la SONACOS croyant y trouver une manne, a commis une erreur, et de plus, il n’est pas apte pour gérer une société à caractère commercial.

Il faut corriger cette erreur.

 L’Etat doit vendre ces huileries aux cultivateurs mais séparément pour qu’elles se mettent en concurrence.  Alors ces cultivateurs se chargeront de trouver le staff nécessaire et seront plus motivés pour produire beaucoup plus d’arachide.

Ces usines étaient approvisionnées par le biais de sous-traitants qui allaient vers les cultivateurs en leur faisant des offres d’une manière concurrentielle, non seulement par des prix intéressants mais également par la proposition de vivres de soudure, ainsi que de besoins en produits manufacturés sous forme de prêt à rembourser après la récolte.

On pouvait donc noter une certaine motivation au niveau des cultivateurs.

Or la SONACOS n’a pas su continuer cette motivation et s’est plutôt érigée en puissance d’Etat devant imposer entre autres ses désidératas dont le prix de vente du produit. Ce n’est pas sa vocation.

Pourquoi la SONACOS a vu le jour ?

Après les indépendances, il était question qu’un pays autonome puisse disposer d’entreprises locales détenues par des nationaux, de façon à permettre une participation de leur bénéfice au développement du pays (plus de retombées dans le pays).

C’est ainsi que les entreprises françaises qui ne l’entendaient pas de cette oreille devaient céder leur patrimoine à l’Etat du Sénégal. C’était en général toutes les usines qui faisaient de l’huile.

  • L’Etat qui a alors commis l’erreur d’ignorer qu’une production industrielle ne saurait être entre ses mains, et qui y voyait plutôt une aubaine, a regroupé toutes ces usines d’huilerie sous une seule société nationale dénommée la SONACOS, détruisant de facto l’état de concurrence qui devait caractériser une telle industrie.
  • La deuxième erreur était de ne pas chercher à motiver les cultivateurs sinon à les contraindre à vendre à la SONACOS leur récolte à des prix fixés à l’avance par l’Etat même, unique acheteur.

Eh bien cela s’est tout simplement soldé par une baisse progressive de la production ainsi qu’à la décadence de ces usines souvent confrontées à des contraintes politiques. La production qui dépassait le million de tonnes dans les années 60 n’arrivait plus à dépasser un demi-million. En ce moment où l’on se targue d’atteindre un million de tonnes, on devrait se souvenir que ceci avait lieu plus de cinquante ans avant.

  • Une troisième erreur a été de les privatiser de nouveau mais en les confiant ensemble à un seul opérateur privé. Cela a été une grosse erreur. Cet opérateur qui ne devait chercher que son profit propre, n’y est certainement pas allé du dos de la cuillère, sans s’intéresser à la motivation des cultivateurs dont le nombre avait dû certainement baisser, et pensant plutôt devoir agir comme la SONACOS.
  • Une quatrième erreur a été de les renationaliser en confiant la société à des hommes politiques dont la compétence est inadaptée à une telle activité.

Eh bien ceci constitue encore de nouveau, une source de mauvais fonctionnement de l’industrie de l’arachide.

Il faut redresser la barre et cela pourrait créer beaucoup d’emplois.

  • Il convient donc d’agir avec patriotisme et faire preuve d’imagination. L’industrie arachidière doit être privée et sénégalaise, mais doit faire l’objet de plusieurs sociétés privées, avec la participation de tous les sénégalais, et particulièrement des cultivateurs qui devront y acquérir des actions, dans un souci de motivation.

Ce sont ces genres de sociétés qui méritent d’être cotées en bourse et susciter la concurrence.

  • C’est ainsi que l’Usine de la SEIB doit faire l’objet d’une société autonome affectée en majorité aux cultivateurs de la région de Diourbel
  • L’Usine de la SODEC doit faire l’objet d’une société autonome affectée en majorité aux cultivateurs de la région du Sine Saloum
  • L’Usine de la SEIC doit faire l’objet d’une société autonome affectée en majorité aux cultivateurs de la région de Casamance
  • L’Usine de Dakar (ancienne Lesieur) doit faire l’objet d’une société autonome affectée en majorité aux cultivateurs de toutes les régions du Sénégal

Toutefois, tout sénégalais désireux de participer dans chacune de ces sociétés devrait être en mesure de le faire en achetant des actions.

Ainsi ces sociétés devraient entrer en concurrence comme cela se faisait, et les cultivateurs du pays pourraient y trouver une source de motivation. Ceci pourrait  donner à l’arachide son lustre d’antan ou même plus.

Le cultivateur pourrait avoir un bénéfice en vendant sa récolte à l’usine dont il est actionnaire et gagner des dividendes sur les bénéfices de celle-ci.

Il convient de savoir que l’arachide est un socle crucial pour l’enrichissement du Sénégal, et pour bâtir les fondements du développement de ce pays. Il faut savoir également que les dires de ceux qui cherchent à décourager cette culture semblent manquer de patriotisme, à moins de provenir d’ignorants. Le problème souvent évoqué de l’aflatoxine ne serait qu’une question de conservation et servirait plutôt d’épouvantail pour décourager l’économie du pays.

Il faut refuser cela.

L’arachide est une richesse à la fois industrielle et culturelle pour le Sénégal, qu’il convient de maintenir avec ses nombreux corollaires, dont la perte pourrait instaurer un chaos destructeur dans le tissu industriel du pays.

En effet chacune de ces sociétés pourrait faire :

  • de l’huile, (l’huile d’arachide étant plus saine que ces huiles dont on ignore les origines)
  • du savon,
  • des tourteaux pour l’alimentation du bétail
  • des pâtes d’arachides grillées (tigué dégué) qui pourraient entrer dans beaucoup de pâtisseries,
  • des biscuits
  • ainsi que des cacahuètes bien emballées à vendre à l’étranger.

Le sachet de 100 g

  • Ces usines pourraient avoir plusieurs branches pouvant même inclure l’industrie des noix de cajou.

Pourquoi ne pas prendre comme exemple un pays comme les Etats-Unis dont certains de ses Etats (Texas, Georgia…) se font champion dans cette culture ? Suivons ces vidéos ci-dessous (disponible sur YouTube) pour nous rendre compte de ce que l’on peut faire avec l’arachide de la ferme à l’usine, ainsi  que l’importance qui lui est encore donnée !

 

 

La concurrence pourrait faire de sorte que chaque société fasse preuve d’imagination pour d’autres produits pouvant intéresser sa clientèle. Qu’elles rivalisent alors en matière de création nouvelle !

Précaution importante : Toutefois, l’Etat devra éviter de donner un chèque à blanc en matière de foncier. Aucune transaction foncière ne devrait être permise. Il convient en effet d’éviter que des infiltrations mal intentionnées ne s’y adonnent à des spéculations foncières, telles que hypothèque, vente, ou autre forme d’aliénation. Un bail renouvelable sera tout simplement servi et admis. Les actionnaires devront trouver d’autres formes de garanties ou cautions pour avoir le financement dont ils auront besoin. En fait pour quelqu’un qui veut travailler cela ne devrait pas poser de problème majeur.

Il faut y adjoindre le maraîchage en aidant les cultivateurs à s’équiper de forage pour des cultures en toute saison. L’agro-industrie correspondante devrait suivre le même sillage et serait alors plus prospère.

2. Le Coton

Dans le sillage de l’arachide, les usines de coton comme la SODEFITEX doivent prévoir des parts d’actions pour les cultivateurs de coton et pour tous les sénégalais.

Les usines de filature, de fabrication des tissus en coton telles que l’ICOTAF, la SOTIBA doivent renaître sous des formes plus modernes.

3. Les phosphates

La société des phosphates de Taïba s’est trouvée en difficulté, au point d’avoir été absorbée par les ICS (Industries Chimiques du Sénégal).

Cette dernière fabrique de l’engrais avec le phosphate de Taïba extrait sous contrôle étranger, transporté par un long train régulièrement rempli, faisant des va-et-vient journaliers entre Taïba et le port de Dakar. De grandes quantités d’engrais sont ainsi emmenées vers l’extérieur pendant que l’on importe de l’engrais pour les cultivateurs du Sénégal. Est-ce normal ?

Vraisemblablement les cultivateurs du Sénégal devraient avoir des parts d’actions dans la société des ICS tout simplement.

4. Le Poisson

Il est grand temps que les jeunes pêcheurs du Sénégal puissent disposer de grands bateaux pour la pêche.

L’Etat devrait leur affecter une part dans le budget du pays (à rembourser) pour l’acquisition de chalutiers et en les épaulant.  Il faudrait progressivement en doter les pêcheurs de Saint-Louis, de Lompoul, de Kayar, de Soumbédioune, de Hann, de Thiaroye, de Bargny, de la petite côte, de Mbour, de la Casamance etc….

Cette pêche devrait être appuyée par des usines de conservation et de transformation et notamment de mise en conserve (sardine et gros poissons). Les usines de mise en conserve devraient utiliser de l’huile d’arachide et élargir la clientèle de l’arachide.

5. Corollaires et Conclusions

Le problème réel est que l’économie résulte d’un mauvais schéma au départ, dû à une méconnaissance du chemin à suivre d’une part, mais d’une recherche précipitée de rente pour l’Etat d’autre part. L’Etat ne doit pas gérer une société à caractère commercial productrice de richesses.

On a vu qu’un certain nombre de sociétés de l’époque laissées par des colons privés et qui devaient être détenues par des sénégalais privés ont tout simplement été sous la coupe de l’Etat, avec bien entendu les insuffisances sur les réflexes nécessaires pour la gestion de telles entreprises. Ceci s’aggravant par une gestion non débarrassée de l’égoïsme humain, surtout quand elle est entre des mains politiques, le résultat est que la plupart de toutes ces sociétés ont périclité, sinon toutes.

Il convient donc de remettre les pendules à l’heure.

Si ces corrections sont bien faites, il pourrait en résulter une atmosphère de prospérité, avec beaucoup de perspectives en matière d’emplois de qualité pour les jeunes.

Il faut tout simplement noter que l’Etat n’est appelé à gérer que des services publics, et au moindre coût pour qu’ils servent de leviers pour le développement du secteur de la production de richesses.

Ceci concerne la sécurité, la santé, l’éducation, les utilités publiques que sont l’eau, l’électricité, le téléphone, le transport de masse, la poste…

Les sociétés productrices de richesses doivent être entre des mains privées à participation majoritairement sénégalaise, et dans un climat de concurrence, étant entendu que l’Etat y détient d’emblée une part importante à hauteur de l’impôt sur le bénéfice (25% actuellement).

Tout investisseur étranger devrait être accompagné par des participations majoritairement sénégalaises. Les participations sénégalaises contribuent à l’augmentation du PIB (Produit Intérieur Brut).

L’Etat doit savoir que c’est ce secteur de production de richesses qui l’approvisionne et qui augmente le PIB.

L’Etat doit en particulier savoir qu’en tant qu’actionnaire d’office dans les sociétés privées, il est de son devoir de les épauler.

Il doit alors apprendre à ses fonctionnaires à les gérer convenablement dans un souci patriotique et non dans un intérêt personnel. Ceci doit viser particulièrement les fonctionnaires chargés de prélever l’impôt, afin qu’ils évitent d’instaurer le découragement dans le développement des sociétés privées. Ils doivent surtout éviter des pratiques manquant de patriotisme et de courtoisie, pouvant même aboutir au découragement et à l’élimination définitive d’entreprises naissantes.

Un fonctionnaire digne de ce nom doit être patriotique et  doit savoir aider son pays en l’aidant à élargir sa source d’alimentation qui se trouve être le secteur privé dans lequel l’Etat est de facto actionnaire à environ 25%.

Pourquoi ne pas encourager la prolifération de telles entreprises dans le pays ?

Pourquoi ne pas les épauler et non attendre qu’elles commettent des erreurs pour chercher à leur appliquer des pénalités et à les mener au découragement ?

Pourquoi étouffer de telles entreprises naissantes dans l’œuf ?

Un peu plus de patriotisme serait nécessaire.

La transversale Fas Boye- Méckhé-BabaGarage-Bambey-Fatick-Foundiougne¬-Fimela-K Samaba Dia¬Djiffer pour libérer et lancer le commerce entre le Cadior, le Baol, le Sine, et le Saloum.

Transversale FasBoy Méckhé Baba Garage Bambey Fatick Foundiougne K Samba  Dia Djiffer pour lancer le commerce entre les habitants de ces zones
Transversale FasBoy Méckhé Baba Garage Bambey Fatick Foundiougne K Samba Dia Djiffer pour lancer le commerce entre les habitants de ces zones

La Route Méckhé BabaGarage Bambey Fatick daterait de l’époque coloniale (1943). Ne serait-il pas temps de concrétiser un tel projet ?

Un témoin comme le vieux Modou Kane plus connu dans son village de Sine Lèye Kane sous le nom Modou Abdou Ngoné Kane fera même remarquer que les responsables du projet à l’époque avaient pour noms Messieurs Mollet et Fouad.

Serigne Modou Kane Notable aux Parcelles assainies mandataire de plusieurs Khalifs Généraux de Touba à Dakar depuis Serigne Abdoul Ahad Mbacké.
Serigne Modou Kane, Notable aux Parcelles assainies mandataire de plusieurs Khalifs Généraux de Touba à Dakar depuis Serigne Abdoul Ahad Mbacké.

Selon lui, le projet n’avait pas manqué d’être marqué par une implication des chefs de Canton de l’époque tels que :

  • Baye Ndongo Fall chef de Canton de Baba Garage et keur Samba Kane
  • Ibra Déguène Diop chef de Canton de Koule Khandang
  • Massambe Arame Diop chef de Canton de Pékesse
  • Kouli chef de Canton de Niakhène
  • KonkoBa chef de Canton de Touba Toul

On peut noter que les premières routes étant faite de branchages, brindilles et de pailles, la main d’œuvre était quasi locale.

On peut penser que le colon réalisait ses voies de communication dans un but notamment commercial, en fonction de la situation des produits dont il avait besoin, tels que l’arachide à l’intérieur du pays, mais en informant certainement largement les autorités locales.

Mais au-delà de ces considérations, il convient de noter que cette route à beaucoup d’avantages.

Elle va desservir beaucoup de villages comme :

  • Keri
  • Touba kane
  • Darou seye
  • Sine Leye Kane
  • Gandek
  • Baba Garage ancien point de vente de l’arachide
  • Thièpe
  • Ndiom Gaye
  • etc..

Ces villages invisibles à partir des routes nationales vont pouvoir être accessibles et présenter leur production souvent insoupçonnée à des points de vente comme Méckhé, Bambey et  Fatick et y rencontrer des acheteurs.

Par ailleurs, si une ligne électrique Moyenne Tension dessert cette route jusqu’à Baba Garage, en alimentant en électricité les villages rencontrés, le développement économique et commercial n’en sera que mieux portant.

  • Une ville comme Méckhé va pouvoir renforcer son caractère marchand pour les produits des villages environnants. Elle pourra échanger ses chaussures avec des produits halieutiques du Sine et du Saloum. Un village comme Gandek qui semble-t-il, est spécialisé dans la culture de la pomme de terre va pouvoir être mieux connu.
  • Le village de Baba Garage, carrefour célèbre dans le temps, à la frontière du Cadior et du Baol, devenu inconnu par suite de son enclavement, va pouvoir exhiber sa notoriété d’ancien point de vente de l’arachide.
  • Une ville comme Fatick va également en profiter en pouvant échanger avec Méckhé, et pourquoi pas vendre dans sa région les chaussures faites dans cette ville. C’est ainsi que si on prolonge la route de Fatick à Joal et Djiffer à partir de l’embarcadère de Foundiougne, cela va permettre aux villages du Cadior et Baol, desservis par cette route d’être approvisionnés en produits halieutiques (frais ou secs), en échange de leurs produits propres, tels que les mangues et produits maraîchers.
  • De même, si on complète le projet par un pont entre Fatick et Foundiougne, la commercialisation des produits halieutiques pourra davantage connaître un essor.

    Ce pont devait être fait depuis longtemps pour une bonne intégration de  Foundiougne ainsi que d'une bonne partie du Saloum dans les échanges commerciaux du pays. Ce pont pourrait certainement être réalisé en BOOT.
    Ce pont devait être fait depuis longtemps pour une bonne intégration de Foundiougne ainsi que d’une bonne partie du Saloum dans les échanges commerciaux du pays. Ce pont pourrait certainement être réalisé en BOOT.

Fatick pourra devenir un centre d’échange et en profiter pour construire des chambres frigorifiques qui lui permettront de faire de la plus value sur ces produits qui pourront être vendus :

  • aux voyageurs empruntant la nationale 1 qui passe devant elle,
  • ainsi qu’à ceux qui vont sur la nationale 3 au niveau de Bambey
  • et également à ceux qui vont sur la nationale 2 au niveau de Méckhé.

Fatick aura aussi l’avantage d’être un véritable carrefour, lui permettant d’héberger des voyageurs voulant aller sur la côte sud pour chercher des produits halieutiques secs (poissons fumés, coquillages, etc … ) et retourner pour les vendre :

  • à Bambey sur la nationale 3 et pourquoi pas jusqu’à Diourbel et Touba.
  • Et à Méckhé sur la nationale 2

De même, Bambey et Méckhé vont pouvoir renforcer leur état de carrefour et pouvoir se doter de chambres froides.

Il en sera de même pour Baba Garage qui, en tant qu’ancien carrefour, va pouvoir renaître et desservir les villages environnants.

Si l’on fait la jonction Méckhé-FasBoye-Mboro, l’approvisionnement en poisson de la zone Cayorienne de Méckhé va pouvoir être renforcé. De même, les mangues et produits maraîchers de Mboro pourront être distribués dans le marché de Méckhé et à Fatick.

Ainsi, les populations du Cayor, du Baol, du Sine et du Saloum vont pouvoir se rapprocher davantage et intensifier leurs échanges commerciaux, ce qui aura certainement une répercussion sur la balance des paiements du pays.

Il convient enfin de noter que cette longue route est déjà faite en partie. Les tronçons suivants sont déjà réalisés :

  • Bambey-Fatick
  • Fatick – Embarcadère de Foundiougne

Donc, il ne resterait plus à faire que les tronçons :

  • Méckhé-Baba Garage-Bambey
  • Embarcadère de Foundiougne-Fimela-Keur Samba Dia-Djiffer

Pour renforcer la mobilité dans la zone, il conviendrait de faire également les tronçons suivants :

  • Baba Garage Embranchement Dinguiraye-Thilmakha
  • Baba Garage-Touba Toul

Dans la foulée, le bitumage de la route entre Joal et Djiffer sera d’un grand  apport.

Il serait important de bitumer la route Joal-Keur Samba Dia-Djiffer.
Il serait important de bitumer la route Joal-Keur Samba Dia-Djiffer.
Djiffer : cette presqu'île a abrité une mine de titane. On s'y approvisionne actuellement en produits halieutiques secs (poissons fumés, coquillages etc...).
Djiffer : cette presqu’île a abrité une mine de titane. On s’y approvisionne actuellement en produits halieutiques secs (poissons fumés, coquillages etc…).

Une telle mobilité ne devrait pas manquer de renforcer l’essor commercial de cette zone.

Une société Sénégalaise de Commercialisation de l’Arachide (SCA) pour libérer l’énergie paysanne et créer des emplois

La Sénégalaise  de Commercialisation de l’Arachide (SCA)

Comme déjà dit dans un article précédent, on pourrait créer des entreprises susceptibles de promouvoir l’économie et créer de vrais emplois.

En particulier dans le domaine de l’agriculture, il convient de solutionner l’épineux problème de commercialisation de l’arachide, qui pèse lourdement sur le plateau des blocages au développement. Au-delà de cette première satisfaction, il faudrait noter une bonne possibilité de créer des emplois pour les jeunes ainsi que des perspectives de rentabilité plutôt intéressantes quant à leur durabilité.

Ainsi, à titre d’exemple, la création de la société SCA (Sénégalaise  de Commercialisation de l’Arachide), évoquée dans un article précédent, va avoir des objectifs intéressants :

  1. L’obligation d’acheter en priorité toute l’arachide destinée à être vendue par les producteurs, donc en les rassurant avant le semis contre tout problème de mévente et de non paiement
  2. l’avantage de satisfaire une bonne partie des doléances de nos paysans, qui pourront rapidement rentrer dans leurs fonds et s’attaquer à d’autres investissements, d’où un encouragement de la filière, mais également, être des actionnaires
  3. la constitution d’une source d’emplois pour les jeunes avec de bonnes perspectives de rentabilité.

En particulier, en considérant un prix au producteur de 175 FCFA qui serait payé comptant, on peut tabler sur :

  • un prix au commerçant de gros de 215 FCFA
  • un prix au commerçant détaillant de 254 FCFA
  • un prix au consommateur final de 295 FCFA

Cette structuration est une proposition assurant à chaque catégorie la même marge bénéficiaire unitaire.

Sur une prévision annuelle d’un million de tonnes (ce que l’on produisait dans les années 60), on pourrait alors prévoir :

  • un chiffre d’affaires de 215 Milliards
  • un prix de revient de 175 Milliards
  • une marge brute de 40 Milliards

Ceci permettrait :

  • de payer 6 Milliards de salaires pouvant intégrer un salaire moyen mensuel de 250 000 FCFA pour 1000 employés, avec la prise en compte de tous les frais sociaux correspondants.
  • Une marge résiduelle à priori assez consistante pour inclure :
    • les frais généraux (transport, électricité, téléphone, etc. …),
    • les frais bancaires,
    • l’amortissement du matériel
    • ainsi que les impôts sur le revenu,
    • et la rémunération des actionnaires.

Il reste entendu que l’Etat devra favoriser une telle société avec une TVA (Taxe sur la Valeur Ajoutée) assez réduite ou la plus basse possible.

Jeunes du Sénégal et d’Afrique, vous qui êtes soucieux de trouver un emploi concret pouvant propulser notre économie, voilà donc une société dont la création devrait vous intéresser.

 

Créer des Sociétés génératrices de vrais emplois pour la population dont les jeunes constituent la cible essentielle

  1. Des Sociétés génératrices de vrais emplois

Il est certainement possible de créer des emplois réels et utiles pour le bon fonctionnement de notre économie dans les différents domaines que sont l’agriculture, l’élevage, la pêche, les mines, ainsi que dans les industries bâties sur ces bases, etc… .

1.1     Dans le domaine agricole

L’on constate que l’agriculture sénégalaise est particulièrement confrontée à un problème de commercialisation, les producteurs n’arrivant pas à disposer à temps de leurs revenus, avec tous les préjudices en découlant, ainsi que les plaintes régulières que l’on ne cesse de constater dans leurs réactions, avec l’appui de la population. Or une solution est possible, avec des sociétés spécifiquement engagées dans la commercialisation de ces produits, ainsi que des perspectives d’emplois non négligeables.  Par ailleurs, cette solution aura l’avantage de vivifier la filière, d’impliquer en particulier la participation de la population qui y trouvera satisfaction, et de régler assez convenablement ce problème qui n’a que trop duré, plombant depuis longtemps notre économie. Ces sociétés pourront être les suivantes :

1.1.1     Sénégalaise  de Commercialisation de l’Arachide (SCA)
1.1.2     Sénégalaise de Commercialisation du Riz (SCR)
1.1.3     Sénégalaise de Commercialisation de l’oignon (SCO)
1.1.4     Sénégalaise de Commercialisation de la Pomme de Terre (SCP)
1.1.5     Sénégalaise de Commercialisation des autres produits Maraîchers (SCM)

1.2     Dans le domaine industriel 

1.2.1     Sénégalaise  de Fabrique de papier (SFP)
1.2.2     Sénégalaise  de Valorisation des Ordures Ménagères (SVOM)
1.2.3     Et d’autres

2         Formes de réalisation des sociétés génératrices d’emplois

Ces sociétés seront réalisées sous la forme de « sociétés anonymes » dans lesquelles, tous les sénégalais auront la possibilité de participer en achetant des actions, chacun choisissant la ou les sociétés qui lui conviennent.

2.1     Le Capital

Le Capital sera constitué par l’apport des actionnaires, tous les sénégalais désireux d’y participer, étant concernés.

A titre d’exemple, en tablant sur une participation de 5 000 000 de sénégalais, chacun apportant 3 000 F CFA, cela ferait 15 Milliards FCFA.

2.2  Le Fonctionnement :

2.2.1         Chaque société a l’exclusivité de l’achat du produit concerné.
2.2.2         Dans cette société, les producteurs participeront et feront partie des actionnaires.
2.2.3         La société achète systématiquement toute la production concernée, et la stocke dans des magasins adaptés.
2.2.4         Les producteurs viendront eux-mêmes livrer leur production dans ces magasins prévus, et y seront payés aussitôt.
2.2.5         La société fournit ensuite le produit aux commerçants de gros désireux de les écouler dans le marché.
2.2.6         Ces derniers vont ensuite fournir le produit aux détaillants désireux de les apporter chez les consommateurs.

 

2.3  Les prix seront normalisés

2.3.1       Le prix au producteur est calculé de façon à comprendre :

2.3.1.1         Le prix de revient à l’unité pour un producteur travaillant sur un hectare

2.3.1.2         Une marge de 30%

2.3.2       Le prix au commerçant de gros est calculé de façon à comprendre :

2.3.2.1         Le prix de revient qui sera le prix de vente du producteur travaillant sur un hectare

2.3.2.2         Une marge unitaire égale à celle du producteur

2.3.3       Le prix au commerçant détaillant est calculé de façon à comprendre :

2.3.3.1         Le prix de revient qui sera le prix de vente du commerçant de gros

2.3.3.2         Une marge unitaire égale à celle du producteur

2.3.4       Le prix au consommateur final est calculé de façon à comprendre :

2.3.4.1         Le prix de revient qui sera le prix de vente du commerçant détaillant

2.3.4.2         Une marge unitaire égale à celle du producteur

3        Constitution

Dans le cas des sociétés de commercialisation du domaine agricole, la constitution pourrait être simple, en dehors du siège.

3.1       Ces sociétés seront essentiellement constituées de magasins de stockage adaptés au produit concerné.

Chaque magasin devrait disposer d’un pont bascule avec le personnel suivant :

  • Deux agents pour le gardiennage « entrée sortie »
  • Un caissier
  • Un comptable
  • Un informaticien éventuellement
  • Un peseur
3.2       Chaque quantité qui entre est comptabilisée.
3.3       Chaque quantité qui sort est comptabilisée.
3.4       Le système est informatisé et sécurisé.
3.5       Le staff au siège surveille le bon fonctionnement de l’ensemble.

4        Avantages

Avec de telles sociétés, les avantages sont multiples :

  • Régler enfin le problème chronique de mévente et de bons impayés des paysans, et mettre un terme à leurs fréquentes lamentations. Ces paysans, en étant actionnaires, pourront ainsi gagner deux fois.
  • Encourager les producteurs agricoles à plus de production et pérenniser cette production
  • Encourager et pérenniser la production industrielle dérivée de cette production agricole
  • Libérer et Promouvoir l’économie globale.

Promouvoir les activités génératrices de richesses pour contribuer au redressement de la balance des paiements : Une usine, fabrique de papiers pour la création de vrais emplois

 

Les activités génératrices de richesses doivent constituer l’essentiel de nos occupations pour un développement durable. Toutefois, dans un souci de cohérence, cela ne saurait se faire véritablement qu’une fois l’économie bien organisée. Pour ce faire, ce ne serait suffisant de se focaliser sur des directives étrangères se basant sur des chiffres dont la compréhension effective n’est pas certaine, et correspondant plutôt à des économies n’ayant pas la même morphologie que la notre. En toute circonstance, il convient de regarder la situation en face pour définir ses objectifs, et de savoir que l’économie ne saurait se baser que sur la satisfaction des besoins humains, eu égard à la culture et au mode de vie de chacun. C’est la raison pour laquelle,  notre balance des paiements pourraient être un guide éloquent. En effet, elle est plombée par nos besoins que nous ne sachions satisfaire nous-mêmes. Dans cette situation, ne serait-il pas judicieux de s’attaquer à l’augmentation de nos capacités à résoudre ce problème ? On pourrait alors se rendre compte que le redressement de notre balance des paiements cadrerait avec notre autosuffisance. Il convient donc de s’attaquer aux besoins de cette balance pour définir un plan. Toutefois, cela devrait se faire une fois les facteurs de productions maîtrisés, et bien réglés. Ceci devrait permettre de dégager une liste de priorités à réaliser, et dont y figureraient en bonne place les industries permettant de valoriser et développer les activités primaires, mais également certaines industries transversales comme une usine de fabrication de papiers. Il convient simplement d’observer notre consommation de papier, pour l’éducation, l’administration et l’information, le tout étant importé.

Ceci aurait un autre avantage. Devant le problème obstiné des ordures ménagères dont le traitement est encore, à ce jour, en état de tergiversation, il y a lieu de prendre en compte le fait qu’une partie est faite de papiers d’emballage à recycler, et qui pourraient entrer comme matière première dans cette usine. Ceci devrait certainement propulser les usines de traitement des ordures ménagères, et ensuite, promouvoir la fabrication de papier d’emballage pour la transformation de nos produits locaux.

Tous les autres projets devront alors suivre le processus, au fur et à mesure, pour que l’Afrique constitue un lieu où l’on ait envie d’y rester.

Un appel d’offres pourrait être lancé pour la construction de ces usines, dont le capital devrait provenir d’une participation de la population, sous forme d’actions, au lieu des emprunts difficiles à gérer. Ceci devrait être une nouvelle voie pour le financement et la participation responsable de la population dans les activités de développement.

Nos jeunes devraient constituer un maillon important de ce projet, en devenant actionnaires dans les sociétés qui vont être créées, tout en y étant employés responsables, veillant à ce que la gestion soit saine et exempte de toute action faisant penser à une quelconque « mal gouvernance ».

Cette solution serait certainement préférable à l’émigration clandestine, avec tout ce qu’elle comporte comme brimades et surprises désagréables.

Il convient donc que l’on s’y mette tous.

Un appel est donc lancé à tous les amis de l’Afrique.

Les notaires devront y contribuer avec toute la rigueur requise pour la création sécurisée de ces sociétés.

Les cadres compétents devront également s’y impliquer avec sérieux et dévouement pour que l’Afrique constitue enfin un continent où il fait bon vivre, à l’instar de tous les autres.

L’Afrique étant un continent à bâtir, ne devrions-nous pas nous y mettre et créer des emplois pour les jeunes ?

CES ROUTES DÉGRADÉES A RÉHABILITER ET A ENTRETENIR

Réparer ces routes et empêcher leur dégradation en dégageant un budget annuel pour leur entretien, c’est du travail que les jeunes pourraient faire, au lieu de passer le temps à prendre le thé ou de prendre la mer.

Mais il convient également de les pousser vers l’agriculture, l’élevage, la pêche par l’incitation, et bâtir l’agro-industrie qui doit accompagner ces secteurs de l’économie pour au moins une autosuffisance alimentaire concrète.

L’Afrique étant par essence une zone de culture, ne devrions-nous pas exploiter cette possibilité ?

La production agricole permet certes de nourrir la population, ce qui permet de satisfaire un des besoins fondamentaux de l’homme. Il faudrait tout simplement qu’elle soit suffisante.

Une fois faite,

  • il convient de la rendre durable.
  • Il convient également de la rendre plus efficiente et l’étendre.
  • Il convient également de la conserver.

Pour ce faire, il faudrait des usines de conservation et de transformation. Cela donne de la valeur ajoutée à nos produits locaux. Cela donne également du travail pour les  jeunes.

  • Ainsi, beaucoup d’usines devraient être construites pour la conservation et la transformation de nos produits locaux (mangues, goyaves, carassol, pomme cannelle, bissap, bouye, payaye etc. …).

La Côte d’Ivoire transforme ses ananas depuis longtemps et commercialise avec une bonne conservation ses bananes.

Elle a fait un grand effort avec son café et son cacao qui sont commercialisés ou conservés ou transformés.

Ne devrait-elle pas servir d’exemple ?

  • Pour le cas du Sénégal, avec l’arachide, il convient de créer une société chargée de commercialiser l’arachide en l’achetant entièrement et en la stockant, pour la revendre ensuite tranquillement à des usines pour la fabrication d’huile, de tourteaux, de pâtes d’arachide, de cacahuètes, de gâteaux etc. Tout le monde devrait participer dans cette société, et cela donnerait beaucoup d’emplois.

Cette société aurait tout simplement besoin de magasin de stockage dans toutes les régions, avec la sécurité requise.

Les usines qui vont être créées, vont être de véritables sources d’emplois, contribuant réellement à la création de richesses et d’emplois, et au redressement de notre balance des paiements.

  • Concernant le maraîchage, il faudrait également des sociétés qui achètent entièrement la production et la conservent convenablement pour la revendre tranquillement. Cela demande des chambres froides un peu  partout dans le pays, avec l’avantage qu’on pourra les électrifier au solaire photovoltaïque.
    • Ainsi une deuxième usine d’assemblage de panneaux solaires est requise pour répondre à cette demande. Il faudrait la participation de tous dans cette société.
    • Pour la construction des chambres froides, la compétence devrait exister. Sinon, il convient de faire un appel d’offres international, tout en essayant de maîtriser la technologie.
  • Il faudrait également des usines pour satisfaire nos besoins indispensables en papier pour le développement de nos activités dans l’éducation, l’administration, et l’information, ce produit insoupçonné contribuant sérieusement à plomber notre balance des paiements. Il convient de le maîtriser.
  • Ainsi, dans l’ensemble, il s’agit d’usines qui devraient permettre de vrais emplois contribuant effectivement au redressement de notre balance des paiements.
  • Maintenant pour créer concrètement tout cela, le financement et la formation constituent les difficultés majeures.
    • Pour le financement, il s’agit de créer des sociétés dans lesquelles tout le monde pourrait participer par des actions accessibles à tous.
    • Les notaires sont appelés à mettre en place le cadre avec toute la sécurité nécessaire.
    • La technologie est assurée par le fournisseur qu’on choisira par appel d’offres
    • Ce dernier devrait se charger en même temps de faire la formation.

Il convient donc que les initiatives se délient et s’accordent.

Un appel est donc lancé à tous.