On pense souvent devoir se faire aider pour trouver du travail. Pourquoi ne pas s’appuyer d’abord sur ses propres compétences, en essayant de les rendre utiles à la population qui devrait en être la réceptrice? Sans compétence, à quel travail devrait-on pouvoir prétendre ? Il est naturel de savoir qu’un travail consiste tout simplement à faire quelque chose d’utile pour les autres, au point qu’ils soient prêts à rémunérer l’auteur pour en bénéficier.
En essayant de répondre à ces questions, on devrait se rendre compte qu’une compétence est nécessaire. Or, une compétence devrait vraisemblablement être bâtie sur une formation, de préférence technique. Et avant cela, une formation générale, permettant de savoir lire, écrire et comprendre dans la langue de travail, serait indispensable.
De ce fait, il convient d’avoir les pieds sur terre pour ne pas vivre d’illusions ou de s’en contenter. Tout le monde devrait savoir que ce processus est nécessaire, et peut être suffisant pour trouver du travait. Des subsidiaires pourraient consister à se faire connaître, ce qui pourrait se matérialiser tout simplement par de la publicité, laquelle devrait se matérialiser par des lieux de rencontre, entre les agents concernés. De la même façon que des chambres commerce ont existé depuis longtemps, pour permettre à des vendeurs et acheteurs de s’y rencontrer, des lieux ou employeurs et travailleurs peuvent se rencontrer ont toujours aussi d’autant existé, sauf qu’à la longue, des aliénations ont déformé le système. Il convient donc tout simplement de remettre les pendules à l’heure. Et de nos jours, l’internet se trouve un lieu idéal pour répondre à ce problème. C’est ainsi que ce lien : https://www.sunukoom.com/travailleurs/ propose une solution.
La formation technique aura l’avantage d’avoir un métier qu’un employeur pourrait utiliser ou par laquel, on devrait pouvoir créer son propre travail de manière autonome. Quoi alors attendre pour s’y mettre ?