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Sur cette image, ce véhicule a subi un accident apparemment grave. C’est sur la route Fatick-Diakhao-Gossas. Et c’était probablement en 2014. Ceci ne susciterait-il pas une analyse ?
Qu’est ce qui en a été à l’origine ?
Regardons d’abord cette video ci-dessous.
Si un tel travail est fait, n’est-il pas question d’en informer la population pour qu’elle prenne elle aussi sa part de responsabilité ?
Une telle analyse devrait concerner :
Une réunion ne devrait-elle pas concerner les responsables impliqués pour des leçons à tirer ?
Apparemment, on ne fait que constater l’existence de l’accident pour la comptabiliser tout simplement. Et très souvent, c’est uniquement le conducteur qui est incriminé.
Devrait-on s’arrêter là ?
Est-cela simplement le rôle d’une autorité ?
Fait-on des analyses avec des réaménagements pour l’avenir ?
Si l’on analyse cet accident, l’on constatera juste avant l’épave une tâche noire sur la route à droite, dans le sens dans lequel roulait en principe ce véhicule, selon la photo.
Il s’agit apparemment d’un nid de poule récemment réparé.
Il est question de se demander alors quand est-ce que cette réparation a eu lieu.
Cependant, il faut noter que les nids ont été nombreux sur cette alors qu’elle n’était pas très âgée. Il suffit de regarder l’enregistrement vidéo ci-avant.
Si l’on se réfère à Google Earth, et que l’on essaye de remonter le temps, l’on peut constater que cette route était en chantier en 2007, comme le montre la vue ci-contre, prise au même endroit.
Mais on constatera également un caractère prématurément dégradé pour ceux qui emprunteront cette route en 2014. Elle était alors truffée de crevasses qui pouvaient être dangereuses pour un conducteur qui tombent brusquement sur elles.
Bien entendu, ces crevasses ont été réparées, et on en voit les traces sur cette vidéo. Mais quand est-ce que la réparation a eu lieu ?
Ne serait-ce pas après le sinistre ?
Bien entendu, mieux vaut tard que jamais.
Cependant, la situation porte à croire que ces crevasses pouvaient être à l’origine d’un accident.
Il convient de noter que quand on construit un ouvrage, en l’occurrence ici une route, on doit privilégier la qualité.
Bien entendu quelque soit la qualité, une dégradation surviendra.
Donc, il faut également prendre en compte l’entretien de l’ouvrage. Mais il faut le faire à temps. Il ne faut pas attendre qu’il y ait un incident pour le faire.
C’est cela qu’on appelle « la maintenance ».
En termes plus explicites, on parle alors de la maintenance permanente de la route en bon état d’usage.
Il fallait donc constater que la finalité de cet accident a été que :
Ne devrait-on pas budgétiser un montant annuel pour l’entretien de nos routes ?
Ceci ne serait-il pas une obligation pour nos autorités ?
Chaque Maire de Commune pourrait prendre la responsabilité de son périmètre, et veiller à l’entretien de son patrimoine.
L’objectif « Zéro nid de poule sur nos routes » pourrait bien être un défi à relever.
Et ce défi pourrait certainement être relevé.
Pour ce faire, chaque Maire pourrait faire travailler ses jeunes, lesquels devront avoir l’obligation :
Ces vues de Google Earth concernent la banlieue de Dakar.
Ces tâches sombres qu’on peut y voir et dont certaines sont délimitées en bleu sont des zones inondables. Malheureusement, elles font l’objet d’une habitation non adaptée dans ces lieux. Ce qui fait d’ailleurs l’actualité après chaque forte pluie, eu égard aux désagréments constatés en ces moments difficiles. Il convient d’étudier ce phénomène pour une solution adaptée.
Une vue rapprochée risque de donner une image du type ci-dessous, c’est-à-dire des maisons complètement dans l’eau.
Cette vue datant du 1er juillet 2015, il pourrait être demandé à Google Earth de réactualiser ces images après ces fortes pluies qui n’ont débuté cette année à Dakar que vers le 26 juillet, pour une meilleure visibilité.
Pourtant, bien que nombreuses, ces zones d’eau peuvent faire l’objet de zones d’habitation assez prisées. En effet de pareilles zones existent ailleurs, mais en ayant fait l’objet d’études et de réflexion pour donner lieu à une habitation plutôt très appréciée.
En effet, ces points noirs que l’on peut voir sur cette image (ci-contre) de Google earth concernent des zones d’eau, côtoyant harmonieusement des zones d’habitation, en Amérique du Nord. Une étude minutieuse a mis en synergie ces zones d’eau et le type de lotissement retenu, donnant lieu à une belle vue qui de loin fait penser à des arabesques.
Cependant, une vue de près montre un type de lotissement insoupçonné, dans un environnement plutôt agréable à la vue, qui pourtant, pourrait bien s’adapter aux zones inondables de Diamagueune, Sicap Mbao, Guédiawaye, Pikine et autres.
Il faudrait en tirer que ces zones inondables pourraient donc donner lieu à beaucoup de belles configurations que l’on pourrait enrichir par l’imagination de nos architectes, ces derniers devant avoir le devoir de les faire proliférer, en vue de la plus adaptée pour chaque contexte.
Ces images ci-dessous concernent des vues encore plus proches, signifiant ainsi que des lotissements prestigieux pourraient être érigés dans de telles zones.
Par ailleurs, il convient de noter que le phénomène de l’inondation est le résultat de fortes pluies qui donnent lieu à des mares, lesquelles peuvent dépasser leur capacité de rétention et déborder.
Naturellement, ces débordements vont souvent donner lieu à un déplacement des eaux vers un point de réception qui est généralement une mare de plus grande capacité, ou la mer. Tel a été le processus au niveau de ces zones de Dakar, où les eaux finissaient leur course par la mer, généralement vers la côte Sud (Hann, Thiaroye etc..). L’on peut voir d’ailleurs que les infrastructures routières et ferroviaires de l’époque les laissaient suivre leur chemin librement par de petits ponts.
Il reste entendu que même en cas de sécheresse, les zones d’eau doivent être déclarées « NON AEDIFICANDI ». Aucune habitation ne devrait y être édifiée. Les autorités du pays chargées de ces dispositions doivent y veiller, et savoir que cela fait partie de leurs obligations.
Mais voilà que les constructions faites par la suite ont manqué de suivi par les autorités compétentes, et certains parcours de ces eaux ont tout simplement été obstrués. Dès lors, les mares asphyxiées ne pourront que gonfler.
Ce qui est d’ailleurs paradoxale, c’est que la construction de certaines routes n’a pas reconduit les anciens ponts trouvés sur place, empêchant de ce fait la libre circulation de ces eaux. En d’autres endroits, on a laissé des habitations s’ériger dans des lits asséchés, que les anciennes mares occupantes n’avaient pas définitivement abandonnés.
De ce fait, il convient de raser toutes les constructions se trouvant dans des points bas, et d’y ériger des bassins.
Chaque bassin sera bordé d’arbres palmiers dattiers ou cocotiers, et de voies de circulation piétonne. Une surveillance de la propreté sera de rigueur avec nos municipalités qui devront y mettre des gardiens à demeure.
Les nouvelles constructions pourront être des maisons basses, mais surtout des immeubles à étages qui pourront entourer le point d’eau, en respectant une certaine distance, et abriter le maximum d’usagers. Les déguerpis pourront loger provisoirement ailleurs et revenir pour habiter dans ces immeubles.
On peut également s’inspirer de zones d’habitation type oasis qui sont nombreuses en zone arabique et en Amérique du Sud, pour égayer le système comme ci-dessous (Image google earth de l’Oasis Huacachina au Pérou).
Des possibilités de configuration sont données sur cette vue et pourraient faire l’objet de concours architecturales chez les élèves et professionnels de ce secteur.
Avec tout cela, il convient de ne pas répéter les erreurs du passé qui doivent servir de leçon.
C’est la raison pour laquelle, un système de dégagement des eaux doit être prévu pour viser un déversement vers la mer, quand les niveaux de débordement risqueront d’être atteints.
Une canalisation devra alors lier ces bassins entre eux de façon à réglementer leur déversement pour un aboutissement final vers la mer.
On pourra noter que la mise en œuvre d’un tel travail pourrait certainement être une source d’emplois pour les jeunes.
Il est certainement possible de créer des emplois réels et utiles pour le bon fonctionnement de notre économie dans les différents domaines que sont l’agriculture, l’élevage, la pêche, les mines, ainsi que dans les industries bâties sur ces bases, etc… .
L’on constate que l’agriculture sénégalaise est particulièrement confrontée à un problème de commercialisation, les producteurs n’arrivant pas à disposer à temps de leurs revenus, avec tous les préjudices en découlant, ainsi que les plaintes régulières que l’on ne cesse de constater dans leurs réactions, avec l’appui de la population. Or une solution est possible, avec des sociétés spécifiquement engagées dans la commercialisation de ces produits, ainsi que des perspectives d’emplois non négligeables. Par ailleurs, cette solution aura l’avantage de vivifier la filière, d’impliquer en particulier la participation de la population qui y trouvera satisfaction, et de régler assez convenablement ce problème qui n’a que trop duré, plombant depuis longtemps notre économie. Ces sociétés pourront être les suivantes :
Ces sociétés seront réalisées sous la forme de « sociétés anonymes » dans lesquelles, tous les sénégalais auront la possibilité de participer en achetant des actions, chacun choisissant la ou les sociétés qui lui conviennent.
Le Capital sera constitué par l’apport des actionnaires, tous les sénégalais désireux d’y participer, étant concernés.
A titre d’exemple, en tablant sur une participation de 5 000 000 de sénégalais, chacun apportant 3 000 F CFA, cela ferait 15 Milliards FCFA.
2.3.1.1 Le prix de revient à l’unité pour un producteur travaillant sur un hectare
2.3.1.2 Une marge de 30%
2.3.2.1 Le prix de revient qui sera le prix de vente du producteur travaillant sur un hectare
2.3.2.2 Une marge unitaire égale à celle du producteur
2.3.3.1 Le prix de revient qui sera le prix de vente du commerçant de gros
2.3.3.2 Une marge unitaire égale à celle du producteur
2.3.4.1 Le prix de revient qui sera le prix de vente du commerçant détaillant
2.3.4.2 Une marge unitaire égale à celle du producteur
Dans le cas des sociétés de commercialisation du domaine agricole, la constitution pourrait être simple, en dehors du siège.
Chaque magasin devrait disposer d’un pont bascule avec le personnel suivant :
Avec de telles sociétés, les avantages sont multiples :
CES ROUTES DÉGRADÉES A RÉHABILITER ET A ENTRETENIR
Mais il convient également de les pousser vers l’agriculture, l’élevage, la pêche par l’incitation, et bâtir l’agro-industrie qui doit accompagner ces secteurs de l’économie pour au moins une autosuffisance alimentaire concrète.
L’Afrique étant par essence une zone de culture, ne devrions-nous pas exploiter cette possibilité ?
La production agricole permet certes de nourrir la population, ce qui permet de satisfaire un des besoins fondamentaux de l’homme. Il faudrait tout simplement qu’elle soit suffisante.
Une fois faite,
Pour ce faire, il faudrait des usines de conservation et de transformation. Cela donne de la valeur ajoutée à nos produits locaux. Cela donne également du travail pour les jeunes.
La Côte d’Ivoire transforme ses ananas depuis longtemps et commercialise avec une bonne conservation ses bananes.
Elle a fait un grand effort avec son café et son cacao qui sont commercialisés ou conservés ou transformés.
Ne devrait-elle pas servir d’exemple ?
Cette société aurait tout simplement besoin de magasin de stockage dans toutes les régions, avec la sécurité requise.
Il convient donc que les initiatives se délient et s’accordent.
Un appel est donc lancé à tous.